Village niché au creux d’un grand portEndroit, perdu, presque oubliéau coeur d’une île de l’avant-portau creux d’un bras presque comblé.C’était le refuge des grands voiliersL’espace ultime pour l’évitageA l’abri du fleuve sauvageDe ses courants et ses dangersA l’automne les roux foisonnents’entassent et parent de brun et d’orLes rives de l’ile de cheviré
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